jeudi 19 septembre 2013

Propriétés pour sauver l'assurance-vie

Selon la Fédération française des sociétés d'assurance (FFSA), le rendement moyen des fonds en euros des contrats d'assurance-vie a chuté à 2,9% en 2012, après 3% en 2011. Face à cette baisse, de nombreux investisseurs sont tentés d'abandonner en faveur de l'unité de compte à l'appui, il devrait être mieux payé.
Mais quelques-uns, pour l'instant, sont ceux qui ont le courage de franchir le pas, parce que la valeur de ces produits varie en fonction de l'humeur des marchés financiers, qui effraie beaucoup. Pour ces investisseurs, FPI civile (FPI) peut être un bon compromis entre risque et rendement.

Deux types de produits 

Selon Pierrepapier.fr de la performance du site s'élevait à 5,25% en moyenne en 2012 pour les entreprises SCPI, près de 300 points de base (3%) mieux que les obligations françaises de l'État (OAT ou des bons du Trésor), dix ans, actuellement autour de 2,3%.

FPI gérer immeubles locatifs qui génèrent des revenus locatifs. Ils sont appelés «performance» lorsque leur actif est composé exclusivement d'entreprises locales, des bureaux, des parkings et des entrepôts qui offrent leurs loyers. Et ils sont appelés «taxe» lorsque leur but est de permettre aux abonnés de réduire leur impôt sur le revenu.

En plus de leur forte rentabilité, les FPI ont d'autres avantages: ils permettent à ces personnes d'investir dans l'immobilier d'entreprise à partir de quelques centaines de dollars, et sont généralement à faible risque parce que leurs actifs sont constitués d'un grand nombre de bâtiments: la multitude de locataires dilue le fardeau de la dette.

Lire: "Nuages ​​sur de grands contrats d'assurance-vie» 

Le désir du gouvernement d'augmenter la taxation des gros contrats en euros pourrait aussi donner un coup de pouce à la FCIC. «Si dans les prochains mois, le gouvernement a décidé d'état au-delà de certains contrats de taille, les avantages fiscaux des contrats d'assurance-vie exclusivement en unités de compte, celles reposant sur la roche-papier restent un avenir prometteur», glisse Tricaud Christophe, rédacteur en chef Pierrepapier.fr.